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25 janvier 2007

Je l'entendais crisser sous mes pieds comme une évidence...

Catégorie: Shoot Shoot Don't Talk!

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22 janvier 2007

Blurps...

Catégorie: Au Boulot!

Menu du lundi 22 janvier 2007

Entrée:

Mère d'élève origine certifiée grognasse prétentieuse servie façon amuse gueule parce que dixit "madame la directrice n'a pas fait son travail"... et je fais comment moi pour deviner que la gosse qui avait mal à la tête avait en fait mal à la dent et que j'aurais du à 15h40 de l'aprem (oui oui la sortie c'est bien à 16h30) appeler sa génitrice (génisse?...) qu'elle vienne la chercher parce que ladite gosse était dans un état lamantable alors que ladite gosse - 11 ans la gamine hein - n'a pas pipé mot sur sa soi-disante insuportable douleur quand elle sait très bien que je n'hésite pas à appeler les mamans c'est pas un problème... Allez comprendre... Aux dernières nouvelles donc je ferais mieux de reprendre mes études de médecine pour être une bonne instit.

Plat de Résitance:

Mère d'élève origine certifiée paranoïaque grande gueule servie accompagnée de son représentant de parent d'élève et qui après m'avoir menacée de porter plainte à la gendarmerie (les pauvres gendarmes je vous jure je les plains...) pour les problèmes de surveillance à la cantine (alors que je suis pas responsable de la cantine merde!) et après m'avoir menacée plusieurs fois de retirer ses trois gamines de l'école (houhou j'en tremble... sans rire dégage ça m'arrange!) n'a rien trouvé de mieux aujourd'hui que de menacer une autre maman par courrier interposé porté par ledit représentant d'élève (ah les joies du rôle de médiateur!) en expliquant à cette maman qu'il fallait "qu'elle élève mieux son enfant"... du coup la pauvre maman catastrophée a atterrie dans mon bureau ce soir en me demandant si sa fille était la tortionaire décrite dans le courrier. Sauf que sa gosse est adorable. C'est l'autre hystérique qui a des gamines horribles, et la faute à qui, on se demande! Euh... Comment lui dire?...

Dessert:

Collègue origine non contrôlée (non contrôlable!) rat de ministère coupé grenouille de bénitier mieux connu sous le nom de Piverte servie glacée qui pendant une heure et demi m'a soutenu l'absolue nécessité de la création d'une bibliothèque pour que les élèves aient accès à l'intégralité des livres des écoles... Donc demain au programme littérature des mes élèves de CM1/CM2 j'ai plus qu'à opter ben je sais pas moi... j'hésite entre Babar et ses amis ou Calinours et ses amis...

...

Vous avez plus faim? Ben moi non plus.

17 janvier 2007

Loosing time

Catégorie: Anecdotes

Faut que j'aille au code...

J'ai po enviiiiiiiiiiiiiiiiie!

J'ai tourné en rond tout l'aprem, réviser un peu, surtout stressé comme une perdue.

Là c'est dans une demi heure et je tremble comme une carcasse.

Et c'est que les cours! Imaginez le jour de l'épreuve!

Si c'est pas malheureux...

15 janvier 2007

Sous la table

Catégorie: Anecdotes

Pour mon dîner de ce soir j'ai mangé des blinis avec du fromage aux fines herbes, des blinis avec de la confiture d'abricot, la dernière tranche du cake au citron que j'avais fait ce weekend, le tout arrosé d'une canette de conacona.

Qui a dit fainéante???

Nan je suis juste un peu dépressive...

 

15 janvier 2007

Bad day

Catégorie: Au Boulot!

Tél à l'inspection ce matin:

- Ouais j'ai mon ordi qui a planté et j'ai tous mes emails qui sont effacés et je me souviens que y'a une réunion avec le collège pour le passage en 6° de mes CM2 mais je sais plus quand?...
- Ben c'est mercredi.
(??!)

- Mercredi là?
- Oui ce mercredi, à 9h au collège de Perpète-les-oies-sans-voiture.
(Et merde...)
- C'est tout ce que tu voulais savoir?
(Comme si c'était pas suffisant!)
- Ben oui, merci, bonne journée!

La maman d'un de mes élèves en grande difficulté me débarque dans les pattes avant que la cloche sonne:

- Pour vous dire que A. a rendez-vous cet après midi chez l'ortophoniste au lieu de vendredi.
(Hein??!)
- Ben... oui.
- Ca pose pas de problème?
(Ben si j'ai préparé ma journée moi alors tu décommandes tout de suite hein!)
- Non, pas de soucis, de toute façon on n'a pas le choix hein? (avec le sourire niais de circonstance... de toute façon ton gosse est tellement à la ramasse qu'il viendrait pas ça serait pareil)
- Et puis comme y'a une demi heure de route je passe le prendre en avance.
(Ben tant qu'à faire...)
- Bien, on fait comme ça!
(A défaut de pouvoir faire autrement...)

Je tire la fève dans la gallette d'anniversaire cet aprem, mes élèves veulent que je choisisse un roi. J'argue que je suis une reine sans roi (de trop mauvaise humeur pour avoir envie de jouer). Messe basse du côté de mes grandes nunuches. Mortes de rire. Et une qui sécrit indignée:

- Nan mais maîtresse, elle dit que si vous avez pas de copain c'est parce que vous êtes moche!
(La vérité sort...)

- Nan maîtresse j'ai pas dit ça, c'est vos cheveux!
(C'est pire...)
- De toute façon maîtresse on le sait que vous avez pas de copain...
(Toi aussi tu finiras toute seule... ah non toi t'es assez conne pour faire un môme avec un abruti du coin pardon...)

Je corrige péniblement mes cahiers du jour, avec devant moi une quarantaine de cahiers convenablement empilés tels la muraille de Chine. La femme de ménage qui a largement eu le temps de finir de tout ranger, de passer le balais et tout et tout vient se planter devant moi en enfilant son manteau alors que je suis limite emmurée vivante:

- Bon ben moi j'y vais. Devriez penser à vous rentrer aussi hein!
(Ben oui c'est vrai ça, pourquoi je suis encore là, j'y avais pas pensé!)
- Ben j'ai encore tous ceux là à corriger.
- Vous allez vous ruiner la santé à c't'allure là.
(Naaaaaannn??? Sans déconner???)
- Faut bien que je finisse... Et j'ai encore ma journée de demain à préparer.
- Ben moi j'y vais. Bonne soirée!
(Bonne? Où ça bonne?)
- Vous aussi! (Toi même ouais!) A demain!

...

Journée pourrie quoi.

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10 janvier 2007

Vitesse supérieure

Catégorie: Petits bonheurs

Victoire!!! J'ai enfin réussi à aller à mon premier cours de code! Hip hip hip hourra!!!

Et en plus, je n'ai fait que 7 fautes... No comment. Enfin si... YEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEES!!!

Trève de fanfaronnade. Je fanfaronnais moins cet aprem avant d'y aller, ça c'est sûr. C'est simple: j'ai tourné en rond tout l'aprem rien qu'en y pensant. Tous ces jeunes goguenards, en scooter et clope au bec, qui allaient me regarder de travers et le sourire en coin, genre la pauv' nana elle a toujours pas son permis elle... Et puis est venu l'heure fatidique. J'ai enfourché le vélo - tant qu'à faire il n'y a que trois kilomètres pour aller jusque là bas - et je suis arrivée juste avant que l'auto école n'ouvre. Juste au moment où deux autres élèves arrivaient eux aussi devant la vitrine. Et là tout de suite, j'ai compris que ça n'allait ressembler en rien à ce que j'avais imaginé. Parce que j'avais oublié un détail, c'est que par ici les gens sont différents.

Je me suis retrouvée dans une minuscule pièce avec quatre autres personnes, assise à des petits bureaux, avec un livret pour cocher mes réponses et un dvd qui débitait les questions sur le même ton laconique que tous les dvds  du code. Et là ou je m'étais attendu à être entouré de jeunes branleurs, j'étais entouré:
- d'une dame d'un certain âge avec un chandaille en faux léopard tout rapé et tout pelucheux qui parlait comme un camioneur et qui avait tout simplement l'air désespérée à chaque question,
- un petit gros au crâne dégarni portant un cuir noir à épaulette illégal depuis la fin des années 80 et surnommé par les autres du doux nom de "Nounours",
- le jeune branleur de service, qui avait mangé un clown dixit le moniteur, habillé comme il faut pour aller squatter au bar pmu en sortant, et qui venait de chier son code le matin même,
- une fille qui aurait presque pu avoir un look gothique tout en noir si elle n'avait pas eu seulement le look shampouineuse de province au chomage...

Joli tableau hein? Ca aurait presque l'air d'être l'enfer sur terre. Sauf que moi je commence à être habitué à ces gens là comme qui dirait, les bouseux comme plaisante Carotte, et que si en lisant cette description on aurait envie de fuir dans l'autre sens, très loin de ce lieu "france profonde", c'est parce que je n'ai pas encore dit la simplicité et la gentillesse de toutes ces personnes, qui pètent pas plus haut que leur cul et qui ne méprisent personne, ça me fait des vacances, croyez moi. Ils sont peut être un peu brut de décoffrage, la mode ils savent pas ce que c'est et puis ils ont pas les moyens, ils ont pas vraiment la conversation la plus spirituelle du monde, mais au moins, ils se prennent pas la tête, et ils vous prennent pas la tête.

Donc je me retrouve à remplir ma petite grille, j'en menais pas très large, mais je me concentrais de mon mieux. A la fin, le moniteur vient ramasser et enclenche la correction du dvd le temps de partir corriger nos réponses. Il revient quelques minutes plus tard et reprend la correction au vol. Et là, très mauvaise surprise: il nous interroge! Je me sens fondre sur ma chaise. A chaque question, au lieu de laisser parler le dvd, il fait pause et demande à l'un de nous de répondre... Nan mais j'avais pas prévu ça moi! Première réponse, je me lance, c'est juste, je justifie pas trop mal... ouf. J'ai le coeur qui tape à tout casser. Et tandis qu'il passe à la question suivante avec un autre élève, je réalise alors que je suis assise dans une classe, derrière un bureau et qu'un prof m'interroge... c'est un cauchemar ou quoi??? Ah mais merde! Aller, pas la peine de se crisper, je ne suis plus vraiment une élève hein, je suis une directrice d'école moi! Une directrice d'école. Oui. je me répète ça dans ma tête pour essayer de pas me retrouver 10 ans en arrière à la belle époque du lycée...

Je suis une directrice d'école, je suis une directrice d'école, je suis une directrice d'éco...

Hein? Euh... j'ai mis la réponse B, parce que... y'a une ligne blanche...?

Finalement j'ai bien géré, pas trop de stress. J'étais pas super confort, mais à la même place avec quelques années de moins j'aurais carrément été à deux doigts de la syncope, et j'y aurais jamais remis les pieds. Là, j'étais pas à l'aise, mais sans plus. Et j'y retournerais sans problème. A la fin le moniteur - vraiment très sympa au passage - nous a donné le compte des fautes. A part Nounours avec 2 fautes, tous les autres en avait plus de 6. Le jeune branleur en a fait 7 aussi, comme moi. Et comme il faisait le malin depuis le début de la leçon, le moniteur lui fait remarquer qu'il avait le même nombre de fautes que moi.

"- Alors qu'elle c'est la première fois qu'elle vient. Toi, ben... toi t'as déjà fait ce dvd en plus!!!"

Il lui a conseillé de relire son code, conseille qu'il lui a quand même donné au moins 3 fois durant la correction. C'est clair que lui, il est pas arrivé. Moi par contre... en bossant un peu et en y allant régulièrement, ça devrait être jouable.

Parce que je me suis rendue compte que je n'ai pas perdu ce petit brin d'intuition qui m'a permis d'avoir tous mes examens à l'arrache. Ce petit truc entre la chance et la jugeote. Et ça aussi ça fait plaisir. On sait jamais, des fois qu'en vieillissant on devienne stupide... des fois qu'on change. Après ce que j'ai pris dans la tête ces derniers temps, des fois que j'ai perdu quelque chose en route, vu que je savais plus très bien qui j'étais.

Finalement, j'ai toujours la main. Je reprends la main. Encore mieux qu'avant.

Et c'est moi qui conduit.

10 janvier 2007

Je vais te dire ami...

Catégorie: Bright Side

Je vais te dire ami, je t'ai eu dans les veines avant de te croiser, et je t'ai reconnu de mon corps en premier. Et quand bien même tu n'avais pas de nom, peu importait. Je n'ai eu écouté que le battement d'un cœur qui nous a encodé, il est des secrets qui existe bien avant jamais qu'on ne les lie. Que tu viennes ami, je ne l'attendais pas, pourtant de tous les vents je savais celui là, qui porte vers un cœur que l'on ne connaît pas et qui se montre capable de venir battre là, à l'intérieur de moi. J'ai oublié le temps et sa seul rhétorique, j'ai effacé l'espace d'un seul battement de cil, juste parce que dans le noir de nos vies j'ai su voir, ami, ton visage dans l'eau. Et je me moque des citadelles blanches et des déserts autour, de ce que j'ai perdu en marche pour y aller, et je me moque ami d'y être morte en route, quelque part dans le sable, esseulée, épuisée. Il n'a pas de prix, ce martèlement sourd qui nous dit dans la nuit que nous ne sommes pas seul, qu'il y a quelque part l'ami, qui nous attend. Et si tu n'attends plus, peu importe ami, je garde la brûlure de ces moments tendus qui fléchissaient le temps, la peur, où je te savais loin, de ma main peut être, mais jamais de mon cœur. Et de nos gestes brusques, de nos paroles vives, j'ai effacé l'affront, et tous les faux semblants qui auront protégé nos fragiles essences. Il y a eu la peine de te perdre, le regret, et longtemps, je le sais, même malgré nous, restera quelque part ce que nous avons fait, la tresse improbable de nos âmes emmêlées, éternellement suspendue dans ce monde, que tu le veuilles ami, où que tu t'en défendes, nous avons été, amis, pour une seconde, et c'est l'éternité qui acte et qui nous veille, nos cœurs étranges sortis de leur sommeil pour seulement reconnaître l'espace d'un moment celui qui de nos corps était connu avant, bien avant que la vie ne joue son triste rôle, ne donne et ne reprennent à chacun la parole. C'est l'éternité qui prend et qui emporte le lien défait, témoin, et qui exhorte à ne pas croire que nous avons eu le beau rôle car nous n'avons rien fait, et c'est là le plus drôle, nous n'avons rien fait, ami, seulement nous croiser. Nous étions dans nos veines bien avant ce moment. Et aucune citadelle ne retient ce serment.

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                               Little People in Gran Canyon by Mikkel Gerken

10 janvier 2007

Biographie

Catégorie: Bright Side

De tous les tournants, lequel prendras-tu? De tous les tourments lequel restera pris dans ta chair, pris à ce jeu traite et mortel? Lequel achèvera une course si belle, et le souffle à bout que tu crachais encore? De tous les visages, lesquels qui se contractent et te glacent, lequel qui te parle sans mot, sans même avoir des yeux, juste dans sa forme, juste dans sa force? De tous les ponts qui se sont effondrés, pierre par pierre dans des océans de ténèbres et que tu n'auras pas franchis, combien qui ne menaient nulle part, combien t'ont sauvé la vie? De tous ces gouffres ouverts sur des océans d'infamies, des souffrances à perte de vue, comme les champs des enfers sobres d'une vie qu'on ment, combien, combien qui sont restés seulement des chaos noirs sous ces ponts éventrés? Combien de portes closes que tu auras poussées à reculons et qui t'auront attrapée au vol, que tu regretteras longtemps, qui t'auront rendue aussi vide que les pages des livres des vies que nous n'aurons jamais, qui te seront passées en travers, chansons à tue tête pour des fous heureux? De tous les sursauts de ton cœur, combien auront été des respirations en plein milieu de la nuit, en plein milieu des océans bleus d'encre qui noient les peurs comme la terre avale les morts?  De toutes les vies que tu auras eues dans ce miroir qui tranche, combien en auras-tu volé? Combien en auras-tu vécue? Des mensonges qui se broient comme les roches millénaires pour en faire de la boue, lesquels se glisseront dans tes veines, faire de toi une statue de glaise et de parole, figée, muette, hurlant des plaintes ou tu te débattras de toi? Et de ta vie comme un tourbillon de gris et de métal, scintillant de l'éclat doré des quelques feuilles d'ange que le ciel te laissent, que retiendras-tu? Comment te tiendra-t-elle? A bras le corps, je te le souhaite, à bras le corps, à corps et à cri, à l'arraché, comme on enlève les victoires, le poing levé et au galop. Je te le souhaite. Que de tous les tournants que tu prennes d'aucun ne soit droit, jamais, et que si tu croises un sourire tu saches, sans ouvrir les yeux, le faire tiens et faire ton chemin. En faire ton chemin.
Que de tous les tourments ne restent rien, que le seul visage qui t'auras parlé, et le seul pont qu'il aura tenu. Rien que les pages pleines d'une vie qui aura été à toi.
Et que tu auras faite.

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                                                             Choices by Roméo Tango

6 janvier 2007

Rupture

Catégorie: Poésie

Je n'ai plus d'eau
Pour laver tes injures,
Plus de feu
Pour embraser la plaine,
Plus de lune ni d'étoiles
Pour en parer mes nuits,
Je n'ai plus de murmures
Pour recoudre mes plaies,
Plus d'envies
Pour respirer,
Je n'ai plus besoin
De ta main sur mon cœur,
Je n'ai plus de temps
Pour mourir.

Quitte-moi.

Touch
                            Touch by Unknown

5 janvier 2007

Le travail c'est la santé

Catégorie: Etats d'âme

Pas bavarde ces derniers jours, le blues de la rentrée à l'avance peut être, trop de choses dans la tête, Jack en arrière plan avec son fantôme qui plane un peu trop, des amis qui font des mystères, des histoires, ou qui ne font rien, le permis de conduire dans le tas, de grands changements dans ma classe, des soucis d'argent encore et toujours, enfin bref début d'année dans la grisaille quoi.

C'est étrange d'ailleurs parce que d'habitude quand j'ai la tête dans le gris, je ne fais rien. Alors que ces vacances, je n'ai pas arreté, et les résultats sont là. Une classe impec, ou presque, un programme quasiment prêt pour la période scolaire à venir, et depuis aujourd'hui un appart rangé et propre, linge et vaisselle à jour s'il vous plait. Tout ça en profitant de mes cadeaux de noël, parties de DS sans scrupules et visionnage de dvd intensif, me couchant tard comme j'aime, traînant au lit jusqu'à des heures inadmissibles, surfant sur le net encore plus qu'à l'accoutumée, c'est à dire beaucoup, discussion msn et lecture de blog à l'appui. Vraiment de bonnes vacances. Et une journée shopping avec Maman au programme de demain.

Pourtant j'ai la tête dans le gris, plombée par des trucs stupides. Comme toujours quand je suis fatiguée. Et dire que ça va faire quinze jours que je suis en vacances! Et je suis fatiguée. Vivement la rentrée alors.

Travailler m'empêchera de trop penser tiens.

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