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14 juillet 2007

Age: 4 ans et demi

Catégorie: Anecdotes

Parce que je suis incapable de manger une compote sans en mettre partout...

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14 juillet 2007

Bon point

Catégorie: Anecdotes

Lundi, premier cours de code: 13 fautes.
Vendredi, cinquième cours: 5 fautes.

Je suis assez fière de moi, l'objectif que je m'étais fixé - à savoir descendre en dessous des 6 fautes en une semaine - est atteint. Encore faut-il maintenir le cap pour espérer être présentée à l'examen le plus rapidement possible. Ce qui va pas être évident vu que l'auto-école ferme pour 15 jours dans une semaine. Je suis donc au minimum bonne pour 2 semaines de bachotage, une semaine avant fermeture et une semaine au retour avant d'espérer que mon moniteur daigne me présenter.

Le point positif c'est que ça va aussi me faire des vacances cette fermeture, sans que je culpabilise de ne pas aller au code. Sauf qu'il ne faudra pas que je perde ce que j'ai acquis... Oui, un peu compliqué tout ça, et stressant surtout.

Enfin bon, pas le choix de toute façon, si je veux ce foutu code avant la rentrée, ça va faire court. Je m'en sors pas trop mal jusque là, mais ça me prend bien la tête, c'est rien de le dire.

Et j'en suis pas encore à la conduite...

9 juillet 2007

Et de une!

Catégorie: Au Boulot!

Un bail que j'ai pas posté... pas vraiment raconté le pot de départ de Cléopatra, ses larmoyants propos pendant toute une semaine jusqu'à l'apotéose du dernier jour... tous les cadeaux qu'elle a eu, tous les cadeaux que je n'ai pas eu, goût de cendres... Les élèves qui chouinent, distribution des restes de la kermesse, encouragement pour les futurs sixièmes, promesses de cartes postales, derniers échanges de petits mots, de merci, et hop tout le monde dehors avec un immense soulagement.

Et depuis mercredi, jour des vacances, je vais régulièrement à l'école. Pas trop le choix non plus puisqu'il y a là-bas un pensionnaire à ma charge - un charmant lapin tête de lion, mascotte de ma classe - que je dois nourrir et sortir de temps en temps. J'en profite pour faire du rangement, enfin en ce moment c'est surtout pour mettre un bazar monstre... il faut bien déranger avant de ranger.

Et surprise en arrivant aujourd'hui, Cléopatra a vidé sa classe sans même me prévenir. Je pensais - on s'était plus ou moins entendu là dessus - qu'elle m'appellerait pour qu'on se fasse une après-midi rangement. Sauf que non, elle a tout rangé toute seule, et je suis restée cinq minutes totalement pantoise en réalisant que les murs de sa classe, son bureau, que tout était redevenu vierge. Zut alors. C'est pour de vrai, elle est partie. Je vais poursuivre mon aventure dans cette école sans elle, et c'est un peu comme rester sur le quai. Surtout que là elle me fait ça comme une voleuse. Comme si je n'étais déjà plus rien. Toutes les belles paroles, qui sonnaient faux déjà depuis plusieurs semaines, que des paroles... à moins que ce soit juste la tristesse qui lui dicte cette étrange conduite. Quelque part je m'en fous, je suis à peine déçue, je me rends compte que je suis déjà passée à la suite depuis bien longtemps.

Sa remplaçante est venue nous voir le mercredi de la sortie. Ouf je n'aurai pas à attendre le dernière mouvement du début septembre pour avoir une nouvelle collègue. C'est déjà ça. Mais les premières impressions au sujet de ladite nouvelle collègue ne sont pas géniales. Je me console en me disant que c'était pareil au sujet de Cléopatra, et que finalement on s'est vachement bien entendu.

Nouvelle collègue donc, qui semble totalement paumée. Comme prévu sur le plan, c'est sa première année, et forcément elle est toute déboussolée, surtout qu'elle vient d'apprendre qu'elle allait avoir un triple niveau vu que l'école va désormais accueillir des grandes sections de maternelle. Youpi. Elle balise un peu, même si elle le dit pas, ça se voit, et ça se comprend. Au moins elle a l'air motivé, avec le sourire, même si je le trouve crispé et surtout trop maquillé à mon goût. Ah oui parce que là ça va me changer de Cléopatra qui était très nature... ma nouvelle collègue c'est tout le contraire. Super sapée, genre midinette de la campagne qui lit trop de magazine, et super maquillée, bijoutée, parfumée... ouark. Pomponnée au delà du supportable, pour moi en tout cas. Une vraie Pompadour, ça promet.

Du coup j'attends de voir, comment ça va tourner, de quoi elle va être capable, avec l'impression désagréable que c'est une fille à galère... pourvu que je me trompe. A priori je garde la direction pour l'année prochaine, ce qui n'est pas plus mal. je fais mon truc, je laisse venir. Pompadour doit m'appeler pour qu'on se voit pour les commandes. J'aurai vérouillé les miennes bien avant. Ensuite, j'ai quelques semaines pour préparer l'année prochaine, plein d'idées, de l'envie, encore. C'est bon signe.

J'ai du mal à réaliser que je viens de finir ma première année. La toute première. Et qu'elle a été fantastique.

J'en veux plein d'autres comme ça.

9 juillet 2007

Quand y'en n'a plus, y'en a encore!

Catégorie: Anecdotes

Ce soir je me suis enfin décidée à retourner au code. Non en fait c'était planifié depuis des semaines. Boule au ventre et des envies de courir dans l'autre sens, de me mettre sous la couette, de laisser le monde sombrer et de ne plus jamais retourner ni au code ni à l'école ni ailleurs... Courage quand tu nous tiens...

13 fautes. Ouais. Vu que ça fait des mois que j'ai pas ouvert le bouquin hein, c'est pas si mal. Sauf que faudrait vraiment que j'ai ce foutu code pendant les vacances, et donc je dois y aller tous les jours, ce qui - vu la torture que c'est à chaque fois - me nique littéralement mes vacances. Moi qui espérais pouvoir en profiter un peu, me détendre, lâcher du leste... me voilà crisper à mort et renfrognée, rechignant, obligée. Que du bonheur. Le moniteur n'avait pas l'air de me croire quand je lui ai lancé "à demain!" en partant. Il m'a parlé comme à ces collégiens versatiles dont il m'avait fait le portrait quand j'étais venue m'inscrire... il y a un an. Minable. Tout ça parce que je me sens dans mes petits souliers quand je suis au milieu de ses huit personnes et que je dois argumenter mes réponses. Alors que quand même, j'ai 27 ans, dans la vie je suis directrice d'école, je gagne ma vie, je la mène comme je veux, je gère, et je gère même plutôt bien. Mais non... dans mes petits souliers avec les mains qui tremblent et en croisant les doigts pour tomber sur une question à laquelle je sache répondre. Une torture.

Je m'y recolle demain soir.

Et ça me bousille déjà la soirée.

5 juillet 2007

L'école est finie

Catégorie: Anecdotes

Vacances.

Groguie, crevée, septique, paumée, déçue, soulagée, et sans doute contente quelque part dans tout ça.

Sauf que je sais pas où.

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26 juin 2007

Flottement

Catégorie: Etats d'âme

Ces derniers jours, je ne vis pas ma vie, j'ai plutôt l'impression de la regarder depuis l'extérieur de mon corps. Tout ce qui m'arrive ne s'est jamais vraiment passé, dumoins c'est l'étrange sentiment que j'en ai. Je suis là mais tout semble être imaginaire. Rien de tout ceci ne semble vrai. Ni la kermesse, ni le voyage de fin d'année, ni même cette année dont je viens à bout, en me demandant comment, comment elle a fait pour passer si vite, pour être si floue et paraître si loin déjà...

Tout ceci à l'air d'un rêve, ou plutôt non, d'un très lointain souvenir, qui ne serait pas à moi.

19 juin 2007

A l'affiche ce soir...

Catégorie: Anecdotes:

Oui oui oui, faut vraiment que je trie et que je range mes cassettes vidéo... je sais. 

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Mais j'ai pas le temps!

J'ai même pas le temps de les regarder. Je me retrouve à chaque fois à sortir en catastrophe le précédent enregistrement oublié dans le magnétoscope pour y mettre une autre cassette pour un nouveau enregistrement... d'où le tas.

Le mois de juillet s'annonce chargé.

19 juin 2007

Confessions intimes

Catégorie: Anecdotes

Puisque c'est ma filleule qui le demande, je veux bien me plier à ce petit questionnaire, et puis c'est plutôt drôle! Attention les yeux...

La luxure : qu'est-ce qui vous fait fantasmer ?
Les hommes... tout le temps, partout, pour pas grand chose, une montre à un poignet, la jointure de leurs doigts, la tension du cou, les postures, les intonations dans leurs voix, le pli d'un pantalon, d'un tee-shirt, leur concentration, leurs moqueries, les poils sur leurs avant-bras, leurs mollets, leurs cheveux, leurs affaires, leurs pensées... ils me fascinent et me font fantasmer, c'est chimique, psychique, épidermique, et parfois presque obsessionnel...

L'orgueil : de quoi êtes-vous la plus fière ?
De mon don pour l'écriture, alors que je n'y suis pas pour grand chose. De mon métier, parce que je le fais bien. De la personne que je suis devenue, de mon histoire. Et de ma famille. Mes parents, mon petit frère. Parce qu'ils sont forts, parce qu'ils sont justes, parce qu'ils sont des gens de biens. Je suis très fiers des miens, très très fiers d'eux.

La colère : qu'est-ce qui vous met hors de vous ?
Quand je me laisse aller à la méchanceté. Quand j'abandonne mes utopies. Quand je trahis mes croyances. Quand je ne suis plus fidèle à celle que je suis. Que je laisse les autres faire, choisir. Quand je me plie. Quand j'arrête de me battre. Juste parce que c'est plus facile.

La gourmandise : quels sont vos plats préférés ?
Sans hésitation: la blanquette au citron et le boeuf bourguignon de ma maman... et puis j'avale quantité de bonbons tous les jours, je ne peux pas m'en passer!

L'avarice : cigale ou fourmi ?

Cigale, désespérement cigale... avec un ascendant fourmi quand même, juste assez pour couvrir les galères. Sinon je suis incapable d'économiser pour me payer un truc... c'est peut être glauque à dire mais si vous passer sous un camion ce soir, on vous enterrera pas avec votre livert d'épargne. L'argent, c'est un truc fait pour vivre le moment présent, sans abuser non plus, mais je préfère emprunter plutôt que d'entasser.

L'envie : qu'est-ce qui vous rend jalouse ?
Deux choses. La beauté, de ces beautés aériennes ou pleines de mystères, de ces beautés de danseuses, grâcieuses, félines, délicates... tout le contraire de moi! Et puis les amoureux. Les vrais amoureux. Même s'ils me terrifient, j'en suis aussi jalouse.

La paresse : comment aimez-vous vous relaxer ?
La seule chose qui me délasse vraiment, c'est de dormir. C'est même mon anti-dépresseur numéro un. Et puis il y a la télé. C'est bête à dire mais mon oreiller et ma boîte à image m'ont sans doute sauvé la vie, et encore aujourd'hui ils m'aident à tenir quand la vie me fait des misères...

Les personnes que j'engage à dévoiler leurs pêchés :
Cetaines ont déjà répondu donc je ne les remets pas... mais j'aimerais bien que Princesse, Fou Majeur, et Mam'zelle Groseille, et s'y collent à leur tour!

15 juin 2007

Hier il fera beau

Catégorie: Shoot Shoot Don't Talk!

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14 juin 2007

Un grand cri d'amour

Catégorie: Etats d'âme

J'ai pas envie de m'inquiéter. J'ai pas envie de faire des efforts. J'ai pas envie de m'en occuper. J'ai pas envie de me renseigner. J'ai pas envie d'appeler. J'ai pas envie de courir. J'ai pas envie de gueuler. J'ai pas envie d'y mettre du mien. J'ai pas envie de faire bien. J'ai pas envie de parler. J'ai pas envie de remplir les papiers. J'ai pas envie de réfléchir. J'ai pas envie d'organiser. J'ai pas envie d'y penser. J'ai pas envie de prévoir. J'ai pas envie d'être là. J'ai pas envie de savoir.

J'ai juste besoin que ça s'arrête.

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